Salina, c'est la mère aux trois fils, la femme aux trois exils, c'est aussi ce bébé abandonné aux hyènes ......
Mamambala c'est celle qui ne la laissa pas mourir . "Par le sel de ces larmes, dont tu as couvert la terre, je t'appelle Salina"
Au soir de son dernier souffle, Malaka, son fils, raconte sa souffrance, sa colère et son amour afin que la mort lui offre le repos et que ce récit devienne légende.
Comment ne pas se blottir contre le corps de Mamambala de longues heures de silence.... Ou comment ne pas veiller sur Salina et puis quand elle est femme, se battre avec elle, l'étrangère à jamais de ce village .... parce qu'un jour elle fut abandonnée par un cavalier venu de nulle part, au soleil brûlant du desert ....
Cent quarante neufs pages où s'échappent tellement d'émotions..... de douleur, de résilience, de résistance ...
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Merci pour ce cadeau mon fils
Un grand auteur !
RépondreSupprimerBonjour le ou la nonyme. D'autres titre à nous conseiller ?
RépondreSupprimerBonjour ma Poulette !
RépondreSupprimerMais... ça m'a l'air très gai tout ça !
Je passe à côté de bien des choses et de bien des émotions car depuis quelques années, je ne parviens plus à me concentrer sur la lecture et c'est un drame pour l'ancienne rate de bibliothèque que je fus.
Visiblement, ce roman t'a touchée...
Bisous sableux
Yep beaucoup, à fleur de peau Louloute
SupprimerEt je crois que j'ai repris goût à lire du coup .... ;)
Bonjour ma petite Saby,
RépondreSupprimerIl doit être intéressant ce livre, vu comment tu en parles.
C'est toujours un plaisir de venir sur ton blog.
Passes une bonne journée et un agréable week-end, gros bisous.
Florence
Salut,
RépondreSupprimerje ne connais pas cet auteur
d'apres ton resumé, bien ecrit, je verrai si un jour je peux lire cet ouvrage,
merci du ressenti litteraire que voila
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C'est mon passage
Sur le blog des amis
Pour un beau weekend à tous souhaiter
En ce vendredi treize
Nous voulons vivre du beau temps sans fournaise
Plus agréable que canicule et gouttes qui viendraient
Mais la nature a besoin de soleil, et aussi d'eau, de pluies
Je préfère un peu d'averses pour le principal ouvrage
@Flo&Phil le bon week
RépondreSupprimerSi ton fils t'a offert ce livre, ce n'est pas par hasard; c'est qu'il connaît toutes les nobles vertus qui animent ton coeur de mère. Bon dimanche
RépondreSupprimerOh ben c'est joliment bien dit Chinou merci
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